111 en binaire donne 7 en décimale.

7 dans le jeux vidéo est certainement une référence à final fantasy 7. What else ?

... oui ...

Bref

N°18 : Final Fantasy 7


Peut on représenter encore aujourd'hui le grand succès de FF7 ? Une révolution graphique du genre premier dans les JRPG ! Une histoire complexe, des personnages on ne peut plus attachant et un gameplay tout aussi bien fait !
Final Fantasy 7 est l'un de ces jeux qui font frontière entre le avant et le après. Car ce qui fait le succès de ce jeu c'est bien l'évolution de son apparence plus que son scénario comparé à d'anciens épisodes.
On pourra noter que le jeu possède un des méchants les plus charismatique de l'univers du jeu vidéo mais il est bien dommage de remarquer que l'histoire, aussi complexe soit elle, n'est qu'une poursuite du vilain avec notre groupe de gentil. Même si le "je" est à bannir je vous dirai que ce jeu n'a de force que la nouveauté que possède son apparence. Une interface en trois dimensions, sans pixel art ; de la modélisation à la base du concept. Un renouveau entièrement visuel.
Je n'oserai pas plomber un tel jeu que celui-ci mais je dois vous dire que Final Fantasy 7 n'est que le premier épisode à profiter d'un nouveau genre. Sans cela il n'aurai jamais eu l'encensement qu'il a reçu. FF7 a terriblement mal vieilli, il n'y a que les fans et les acharnés pour y rejouer de nos jours. Tout est si moche comparé à Final Fantasy 6 (aujourd'hui en 2013).

J'aime l'univers de ce jeu, je suis le premier à "grave kiffer" ses personnages mais désolé de vous le dire mais ce jeu reçois bien trop de compliment pour ce qu'il est. Retirez les graphismes pour mettre une interface comme les anciens FF et vous obtiendrez un jeu en aucun cas meilleur que les précédents. FF7 est aimé par le grand public parce qu'il était en plein renouveau du jeu vidéo (dans le genre de ce qui fait placer dans pas mal de top super mario 64 en première position).
FF7 est une réussite, mais il ne la doit pas à son contenu, ce n'est qu'une claque visuel des anciens temps qui nous entache l'oeil aujourd'hui.

Je lui dis donc bravo mais aussi merde parce qu’il ne mérite pas tout ce qu'on lui a donné. Regardez les adaptations qui ont été faites de son univers. Ce jeu est une mode, sont succès perdure grâce aux nostalgique mais ce succès ne durera pas...

Bravo à grocon pour avoir trouver cet indice pas facile, c'est un bon départ sur le forum  .


Indice pour le numéro 17 :

Spoiler:

Deus Ex ?

Deiv a écrit:

FF7 est aimé par le grand public parce qu'il était en plein renouveau du jeu vidéo

Il est aussi aimé parce qu'il a été le premier Final Fantasy et globalement l'un des premiers J-RPG à sortir officiellement en Occident avec des traductions Française (quoique de qualité misérable). C'est pour beaucoup de ceux qui avait la Playstation à l'époque (une majorité des joueurs) un jeu de leur enfance.

Je redécouvre un peu ce que j'ai écris maintenant, je l'ai fais juste avant d'aller me coucher après une soirée bien arrosé donc j'étais bourré quand je l'ai écris x)

Putain j'ai pas mal trashé oO

N°17 Deux Ex


Deux Ex se déroule dans un futur futuriste dans lequel la technologie cybernétique a pris le dessus. On y incarne J.C. Denton, un agent d'une ONG anti-terroriste, dont le corps est truffé de nano-technologies qui lui permettent d'avoir des sortes de super-pouvoirs. L'histoire regroupe à peu prés tout ce que vous voulez : terroristes français, une épidémie de peste grise, des affaires de politiciens corrompus, des robots, mais aussi les Templiers, le Bilderberg, la Trilatérale, les Illuminati, et d'autres nombreux sujets chers à Alain Soral. Niveau gameplay, c'est à peu prés pareil, y a de tout. À la base, ça se présente plutôt comme un FPS, parce qu'on joue J.C. Denton à la première personne avec un pistolet, mais au final le jeu est plus axé sur l'aventure que sur l'action, et compte de nombreux éléments de RPG (gestion de l'expérience, de l'inventaire, etc.).

À sa sortie sur PC en 2000, Deus Ex est peu attendu, faute notamment aux moindres qualités ludiques de Daïkatana, le précédent jeu de son développeur Ion Storm. Il reçoit cependant un accueil critique des plus favorables, jusqu'à être nommé Game of the Year par GameSpy, IGN et aux Interactive Achievment Awards, et d'être porté sur PS2 et XBox. Ses créateurs Warren Spector et Harvey Smith, qui avaient déjà travaillé sur des titres cultes comme Ultima 7, System Shock et Thief, font désormais partie du petit cercle des game designer célèbres et ont pu se faire remarquer par la suite grâce à Epic Mickey pour le premier et Dishonered pour le second. Deus Ex possède actuellement deux suites : Deus Ex: Invisible War, moyennement apprécié, et le récent Deus Ex: Human Revolution auquel les développeurs du Deus Ex original n'ont pas travaillé.


Indice pour le numéro 16 :

Spoiler:

je veux bien poster un jeux mais... je dois bien mettre n°15 en gras et le nom du jeu ? et puis , obliger de faire un long texte en dessous ? X)

N°16: BioShock



Sorti en 2007 sur Xbox 360 et PC, puis plus tard sûr PS3, BioShock est le premier épisode d'une série édité 2K Games et développé par Irrational Games. Série de FPS se déroulant au XXe siècle dans une ambiance Steam Punk/rétro-futuriste.

BioShock conte l'histoire de Jack qui, après un crash d'avion où il est le seul survivant, plonge dans l'Univers de Rapture. Rapture est donc une ville sous-marine fondée par Andrew Ryan, un milliardaire qui y fixe ses propres règles en autarcie avec le monde extérieur.
Le joueur se retrouve à présent confronté à un choix de camp:
- Aider Atlas, qui nous guide dans le dangereux Rapture, à retrouver sa femme et son fils ainsi que capturer les "petites soeurs", des petites filles parasitées et protégées par les fameux Protecteur/Big Daddy, pour leur extraire l'ADAM et obtenir de nouveaux "pouvoirs"
- Aider le Dr Tenenbaum en épargnant les "petites soeurs" et les déparasitant.

Tout au long du jeu, on visitera divers environnement et rencontrera de multiples personnages tous plus déjanté les uns que les autres. Pour nous aider, on aura donc les fameux "pouvoirs" appelé plasmides comme l'Arc électrique, la Nuée d'insectes ou encore les Eclats Cryogéniques. A l'image de la mana dans un RPG, on est ici limité par l'EVE.
Et évidemment des armes "classiques" comme dans tout FPS qui se respecte: pistolet, clé anglaise, l'arbalète...

En bref, un jeu très riche avec un univers exceptionnel. BioShock a aussi reçu une suite appelé BioShock 2 également dans Rapture mais également un épisode antérieur appelé BioShock Infinite se déroulant dans Columbia, une ville qui flotte dans l'air.

Pour l’anecdote, le Big Daddy est un personnage jouable dans Playstation All-Stars Battle Royale.

Portal ? (oui un cube et un portail, oui )

N°15 : Portal 1



Portal a marqué l’Histoire du jeu vidéo lors de sa sortie en 2007, il méritait bien que l’on vienne dessus.

Le concept est assez basique où l’on doit se rendre d’un point A à un point B en résolvant des énigmes, se cache un des jeux les plus innovant et amusant de ces dernières années. Portal est un puzzle-platformer en vue à la première personne où l’on se déplace dans des pièces blanches fermées, à coup de fusil à portails. Un coup de portail d’entrée par ici, un coup de portail de sortie là-haut, on rentre dedans et hop nous voilà téléporté, fun. Pièges en tout genre sont au programme à base de plateformes mouvantes, de tourelles, d’acide, de boutons à pousser… on bute parfois quelques minutes sur des passages à première vue impossibles et finalement tout roule avec un peu de jugeote et beaucoup de plaisir de jeu (les maps en Avancé donnent ceci dit pas mal de fil à retordre). On note tout de même Portal est vraiment très court, qu’on se le dise. Même en comptant des maps supplémentaires gratos sur PC

Histoire et Graphisme :
Tout commence dans une cage en verre, une petite voix robotique, GLaDOS, nous donne ses recommandations, un reflet nous fait comprendre que l’on est une femme. Il s’agit d’un test, nous sommes un cobaye d’Aperture Science, une cellule secrète de recherche en concurrence avec Black Mesa (bien connue des joueurs d’Half-Life). Avec si peu d’éléments de gameplay et de décor, l’humour est pourtant ravageur et l’immersion totale. GLaDOS nous promet une part de gâteau à la fin du test, les tourelles (très design) parlent avec une petite voix toute mignonne, des petits tableaux avec des silhouettes au fil des niveaux expliquent ce qui est à faire et à ne pas faire, il y a même un générique de fin chanté par GLaDOS himself (culte). Avec trois bouts de ficelles et un peu de génie on fait l’un des meilleurs jeux de 2007 et qui reste encore un cador… Impressionnant. Techniquement les décors sont tellement épurés qu’il est impossible d’y voir un méchant coup de vieux aujourd’hui et le fusil à portails reste inédit. C’est juste dommage qu’une si bonne chose ait une fin arrivant si rapidement.

Gameplay :
Dans Portal , le joueur contrôle le personnage principal , Chell, On navigue à travers une série de pièces à l'aide de l'appareil Aperture Science Handheld Portal ou Portal Gun. Le Postal Gun peut créer deux extrémités de portails distincts, orange et bleu. Les portails permettent de créer une connexion visuelle et physique entre les deux emplacements différents dans l'espace .Tout objets et formes humaines qui se déplacent à travers un portail vont sortir par l'autre. Un aspect important de la physique du jeu est la redirection de l'ampleur. Comme les objets en mouvement passent à travers des portails, ils viennent à travers le portail de sortie dans le même sens et la même vitesse que le portail d'entrer.

Certaines personnes diraient : Portal c’est comme une part d’un délicieux gâteau, avant ça fait envie, pendant on savoure, après on se dit qu’il se fini bien trop vite.

Qu'une seule chose à dire:
"Essayez-le"

N°14 Super Mario World


Bonjour. Alors, Super Mario World, c'est un super jeu de la Super Nintendo, avec un petit bonhomme moustachu et gras du bide qui a besoin d'argent. Alors il va sur l'île au trésor et il espère en trouver tout plein. Mais en fait, sur l'île, y a des pas beaux qui sont aussi méchants et ils veulent pas que le petit bonhomme prennent les pièces. Du coup, il doit apprendre à dresser un petit dinosaure pour qu'il fasse des tours et qu'il puisse le monter. Heureusement, ça va, ensemble ils arrivent à battre les pas beaux et ils gagnent tout plein de flouze. Et même que le petit bonhomme, il donne rien au petit dinosaure, parce qu'il l'a aidé à la rentre meilleur, c'est ça sa contrepartie, comme on a fait avec les noirs. Et même que le petit bonhomme, il se fait une petit copine sur l'île. Je sais pas s'ils font des trucs sexuels, parce que quand j'ai su ça, j'ai pas osé faire le jeu. Ma maman, elle dit que les trucs sexuels, c'est pas bien.

Enfin voilà, à ce qu'on m'a dit, c'est un super jeu. Par contre, c'est tout plat, pas comme les nouveaux jeux du petit bonhomme. Après, ils ont fait une suite qui s'appelle Super Mario World 2 ou Yoshi's Island. Voilà. C'est sorti en 1990 sur Super Nintendo. Voilà, voilà. Il est sorti sur plein d'autres consoles de Nintendo, je crois. Et voilà, voilà, voilà. Bon, bah, j'ai pas grand chose d'autre à dire, donc je vous donne l'indice pour le prochain jeu. Au revoir.


Indice pour le numéro 13

Spoiler:

13 : Les allemands, Kim Dotcom, les devoirs (Duty), un téléphone (Call)...J'ai bien peur que ça soit Call of Duty, mon dieu

Oh merde t'as raison O_o
Call of Duty n'est pas une mauvaise série.
Enfin si. Le problème vient du fait qu'ils ne renouvellent pas parce que leur communauté est assez connes pour acheter chaque année le même jeu.

M'enfin bon, ça n'a rien à faire à cette place là.

Et 4 images, 4. Call of duty 4. Donc Modern warfare je crois.

N°13 Call of Duty 4: Modern Warfare





Hey toi là!
Oui toi qui à la simple vu de ce titre se dit: "Call of "
Et bien reste là parce que je vais t'expliquer ce que fait un jeu pareil à la 13e place d'un classement de qualité comme celui-ci.

Call of Duty, dit la "machine à fric", est une série de FPS commencé en 2003 et qui aura vu 3 épisodes, au rythme d'un épisode par an, avant ce Call of Duty 4. Ces trois premiers épisodes racontes des faits Historiques de la Seconde Guerre mondiale.
Evidemment, je ne vous ferais pas changer d'avis si vous êtes réellement réfractaire aux FPS scriptés, mais si comme une majorité, vous crachez sur Call of Duty par principe (et inconsciemment par jalousie et incompréhension du succès) peut être que ma fiche vous fera tilter.

Call of Duty 4: Modern Warfare est donc l'épisode qui marque la rupture et l'entrée dans une nouvelle aire devenu bateau aujourd'hui. Publié en Novembre 2007 par Activision après un développement d'Infinity Ward, il sort sur tous les supports même si les versions réellement intéressantes se trouvent sur Xbox 360 et PS3. Oui car ce sont pour l'époque les nouvelles générations de console qui accueil pour la première fois un épisode qui leur est exclusivement dédié. (et pas le dernier  )

La nouveauté est donc la rupture avec les précédents épisodes par son scénario cette fois-ci inventé de toute pièce. Le joueur vit donc, à travers un scénario scripté, une guerre civile Russe se déroulant à notre époque contemporaine (201X). Au programme: conflits nucléaires, pétroliers et idéologique avec des interventions sur le terrain auquel nous sommes convié au Moyen-Orient et dans les ex-états soviétiques.

On entre dans le vif du sujet, le pourquoi d'un si bon classement pour un jeu pareil:
- Tout d'abord la nouvelle recette du scénario de guerre inventé de toute pièce en restant réaliste. C'est grandiose, c'est Hollywoodien, c'est beau pour 2007. On pourra regretter que la Campagne solo soit trop courte cependant.

- Ensuite, les événements scriptés qui ont fait la marque de la série et qui sont très critiqué aujourd'hui. En gros, les faits et gestes du joueurs font se déclencher des actions du décor et des ennemis.
Par exemple, j'arrive dans une zone avec mon escouade ce qui a pour effet qu'une explosion se déclenche et qu'une vague d’ennemis arrive. Les ennemis sont battus, mon escouade se rejoins devant une porte et tant que je ne les rejoins pas, ils n'ouvriront pas cette porte.
En soit c'est quelque chose de très immersif car cela place le joueur au centre du scénario. Par contre, si le joueur meurt et doit recommencer une séquence les événements seront les mêmes. Aussi, les ennemies ont des IA (Intelligences Artificiels) parfois surprenante et facile à contrecarrer pour un joueur qui connait les ficelles.

- Le multi qui gagne toutes ses marques de noblesses dans cette épisode. Vous n'êtes pas sans savoir que beaucoup de joueurs achète du Call of Duty pour son multi presque exclusivement. Le Gameplay identique au solo est réglé aux petits oignons, souple, facile à prendre en main. Les maps et les armes sont nombreuses, les serveurs stables et la communauté active. Cette communauté n'était d'ailleurs pas encore ce quelle est aujourd'hui, comme souvent, la communauté est victime de son succès. Plus il y a de monde, moins la proportion de passionnés est importante et c'est toujours le mauvais côté qui ressort.

- Il faut enfin noter que pratiquement toutes les ficelles connus de la série on été inventé par cette épisode, sublimés par les nouvelles consoles que sont PS3 et Xbox 360.

La non-évolution qui suivra cette épisode ce fera indépendamment de ce Call of Duty 4 qui est un jeu exceptionnel de son temps, c'est à dire 2007.

Et bim. Pour tout ceux qui reniait Call of Duty. Ce jeu et un exemple, mais pas les suites. C'est CoD MW2, MW3, Bo et Bo2 qui sont merdique pas MW.

J'ai pas lu, mais je vais dire un truc : La série aurait dû s'arrêter là (Avant l'apparition de la génération suivante).

Je critique Call of Duty actuellement mais ce n'est qu'à l'intention de ses récents épisodes, j'ai joué au 3 et 4 en les appréciant, au 5 aussi mais ça commençait déjà à devenir pas terrible, depuis c'est de pire en pire à mon gout.

Shadow Of The Colossus ?

C'est bien Shadow of the Colossus. 

L'indice est énorme en tout cas.  
On attend la fiche maintenant.